Bonjour les amis !

Bonjour les "Belles-Noës" à Saint-Briac ! Depuis le 7 juillet dernier, c'est ici que vous nous trouverez désormais. Le climat y est tellement favorable que nous y prenons nos quartiers d'été... à l'année !

Une nouvelle vie qui commence bien

Pour conjurer le "sort", nous avions choisis des déménageurs... bretons ! Non pas des "clones" comme on en voit un peu partout sur nos routes mais des "vrais d'che nous", que nous avons été chercher à Douarnenez ! Et nous ne l'avons pas regretté...

Ici, on nous avait dit : "Vous verrez, c'est impossible pour un gros camion de prendre le virage pour embouquer le chemin !". Eh bien, le patron (breton-croate oui oui, vous avez bien lu) l'a fait : marche arrière deux roues dans le fossé, un coup d'accélérateur et c'est parti : "y'a plus qu'à décharger le camion, les gars !"...

3h30 plus tard et surtout... 45m3 plus tard, le contenu du camion avait changé de domicile pour envahir les trois niveaux de notre maison : un véritable "tsunami" de meubles de cartons, d'outils et... d'instruments de musique bien sûr, dont il va nous falloir des semaines pour trouver un semblant de place... mais ça, c'est encore à venir !

Alors que, une "mousse" (une écume devrai-je dire !) à la main, nous contemplions satisfaits le camion vide, je m'adressais au patron et à ses deux acolytes :
- "Bon, eh bien maintenant il vous reste encore à charger !"
- ???
- "Vous êtes bretons, donc vous êtes marins... alors si mon bateau vous intéresse, il est à vous !"
Stupéfaction des trois compères qui regardent le bateau esseulé sur le parking de la maison... pas pour longtemps.
En bon patron, le "breton-croate" s'écrie : "Allez, on charge et on y va !"*
Et voilà comment, en panne de mouillage depuis plus de trois ans, mon bateau qui naviguait en père peinard depuis ce temps sur la grand' mare de mon parking... s'en fut à dos de déménageurs vers d'autres eaux bretonnes plus accueillantes...

Celtic Déménagements (Pub !), vous disais-je... Ils ne sont pas bretons pour rien !

Kenavo !
MM

* Lui, il avait le mouillage et, hélas plus de bateau depuis que ce dernier, mouillage coupé par un "indélicat" s'était mis au plein sur les cailloux !